29 octobre 2008

l'islam Religion Du Bien





«Efforcez-vous de mériter l'indulgence du Seigneur et la possession du paradis, vaste comme les cieux et la terre, et destiné à ceux qui craignent Dieu. A ceux qui font l'aumône dans la prospérité et dans l'adversité, qui savent maîtriser leur colère, et qui pardonnent aux hommes qui les offensent. Certes dieu aime ceux qui pratiquent le Bien». (3, 133-134).


«Observe la prière, ordonne la conduite honnête, défends ce qui est malhonnête, et supporte avec patience les maux qui peuvent t'atteindre. C'est la conduite nécessaire dans les affaires humaines. Ne te tords point la lèvre de dédain pour les hommes; ne marche point fastueusement sur la terre, car Dieu hait tout homme arrogant, glorieux. Marche d'un pas modéré, baisse la voix en parlant; la plus désagréable des voix est celle de l'âne». (31, 18-19).

D'une façon qui résume le comportement moral d'un Musulman, le prophète (que la paix et la bénédiction soient avec lui) a dit:
«Le Seigneur m'a donné neuf commandements pour rester conscient de Dieu, que ce soit en privé ou en public;
De parler avec justesse, que je sois en colère ou joyeux
D'être modéré aussi bien pauvre que riche
De renouer l'amitié avec ceux qui l'ont rompue avec moi
De donner à celui qui me refuse
Que mon silence soit rempli de pensée
Que mon regard soit une admonition
Que je commande ce qui est juste»


Les enseignements de l'Islam concernant les responsabilités sociales sont fondés sur la bonté et la considération pour autrui. Cette exhortation à la bonté demeurant souvent lettre morte dans les situations de la vie, l'Islam insiste sur les actes spécifiques de bonté et définit les responsabilités et les droits de chacun dans les différents types de relation. Dans un cercle grandissant de relations, par exemple, notre première obligation va à notre famille proche, parents, mari ou femme et enfants, ensuite à d'autres relations, voisins, amis, connaissances, orphelins et veuves, ceux de la communauté qui sont dans le besoin, nos frères musulmans et tous nos semblables, enfin les animaux.

LES PARENTS

Le respect et la sollicitude dus aux parents sont soulignés dans les enseignements de l'Islam et une partie importante de l'expression de la foi d'un Musulman.
«Dieu a décidé de n'adorer que Lui, de tenir une belle conduite envers vos père et mère, soit que l'un d'eux ait atteint la vieillesse ou qu'ils soient parvenus tous deux et qu'ils restent avec vous. Garde-toi de leur marquer du mépris, de leur faire des reproches. Parle-leur avec respect. Sois humble avec eux et plein de tendresse, et adresse cette prière à Dieu: Seigneur, aie pitié d'eux, ils M'ont élevé dans mon enfance». (17, 23-24).

LES AUTRES RELATIONS

«Rends à tes proches ce qui leur est dû, ainsi qu'au pauvre et au voyageur, et ne soit point prodigue». (17,26).

LES VOISINS

Le Prophète a dit: «N'est pas croyant celui qui mange à sa faim alors que ses prochains ont faim, n'est pas croyant celui dont ses voisins ne sont pas à l'abri de sa conduite blessante».

En fait, d'après le Coran et la sunnah, un Musulman doit assumer sa responsabilité morale non seulement envers ses parents, ses relations et ses voisins mais envers l'humanité tout entière, ainsi qu'envers les animaux, les arbres et les plantes utiles. Par exemple, il est interdit de chasser les oiseaux et les animaux pour le sport; de même, il est interdit de couper les arbres et les plantes fruitiers à moins d'un besoin pressant.Ainsi, à partir de principes de base, l'Islam édifie tout un système moral extrêmement élevé, grâce auquel l'homme peut réaliser pleinement son potentiel.
L'Islam purifie l'âme de tout égoïsme, de toute tendance à la tyrannie, à la lâcheté, à l'indiscipline. Il crée des hommes qui craignent Dieu, demeurent fidèles à leurs idéaux, et pratiquent la piété, l'abstinence, la discipline et refusent le mensonge.
L'Islam est une source de bonté, de générosité, de miséricorde, de sympathie, de paix, de bienveillance désintéressé, de scrupuleuse loyauté et d'honnêteté envers la création tout entière en toutes circonstances, et de ces qualités, les plus nobles qui soient, ne peut naître que le Bien.






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