Le Qur'an
1- Notre Seigneur, le Très Exalté dit : ( Muhammad n’a jamais été le père de l’un de vos hommes, mais le messager d’Allah et le dernier des prophètes. Allah est omniscient )[1].
2- Jésus u a fait la bonne annonce de la prophétie de Muhammad dans l’Evangile. Allah I dit à cet effet : ( Et quand Jésus fils de Marie dit : “Ô Enfants d’Israël, je suis vraiment le Messager d’Allah [envoyé] à vous, confirmateur de ce qui, dans la Thora, est antérieur à moi, et annonciateur d’un Messager à venir après moi, dont le nom sera “Ahmad”. Puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent : “C'est là une magie manifeste”)[2]
1- Notre Seigneur, le Très Exalté dit : ( Muhammad n’a jamais été le père de l’un de vos hommes, mais le messager d’Allah et le dernier des prophètes. Allah est omniscient )[1].
2- Jésus u a fait la bonne annonce de la prophétie de Muhammad dans l’Evangile. Allah I dit à cet effet : ( Et quand Jésus fils de Marie dit : “Ô Enfants d’Israël, je suis vraiment le Messager d’Allah [envoyé] à vous, confirmateur de ce qui, dans la Thora, est antérieur à moi, et annonciateur d’un Messager à venir après moi, dont le nom sera “Ahmad”. Puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent : “C'est là une magie manifeste”)[2]
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[1] Al Ahzab, 40
[2] As-Saf, 6
[1] Al Ahzab, 40
[2] As-Saf, 6
La Sunna[1]
Le Prophète r disait souvent : « Par rapport aux Prophètes qui m’ont précédé, ma situation est pareille à celle d’un homme qui a bâti une maison, l’a embellie et parée, sauf qu’il a laissé vide la place d’une brique dans un angle. Les gens qui viennent visiter cette maison l’admirent et posent toujours la question suivante : "Pourquoi as-tu laissé cet espace vide" ? C’est moi qui suis cette brique; je suis le sceau des Prophètes ».[2].
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[1] Tradition (discours, caractéristiques, actes, etc.) du Prophète
[2] Al-Boukhari, 3342
Le Prophète r disait souvent : « Par rapport aux Prophètes qui m’ont précédé, ma situation est pareille à celle d’un homme qui a bâti une maison, l’a embellie et parée, sauf qu’il a laissé vide la place d’une brique dans un angle. Les gens qui viennent visiter cette maison l’admirent et posent toujours la question suivante : "Pourquoi as-tu laissé cet espace vide" ? C’est moi qui suis cette brique; je suis le sceau des Prophètes ».[2].
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[1] Tradition (discours, caractéristiques, actes, etc.) du Prophète
[2] Al-Boukhari, 3342
Les Textes anciens
Atâ ibn Yassar t rapporte : « J’ai rencontré Abdullah ibn Amr ibn Al Ace t et je lui ai demandé : – peux-tu m'informez au sujet de la description du Messager d’Allah r dans la Torah ? Il répondit : – Naturellement ! Par Allah, il est décrit dans la Torah avec certains de ses attributs mentionnés dans le Qur'an : “Ô Prophète ! Nous t’avons envoyé [pour être] témoin, annonciateur, avertisseur et un refuge pour les illettrés. Tu es Mon esclave et Mon Messager ; Je t’ai nommé ‘celui qui place sa confiance en Allah’. Tu n’es pas un homme rude, ni un criard, encore moins mal intentionné. Tu ne rends pas le mal par le mal, mais tu pardonnes. Je ne te rappellerai pas à moi avant d’avoir redressé par toi la religion distorse au point qu’ils attestent qu'il n’y a point de divinité digne d’adoration en dehors d’Allah. Je me servirai de toi pour ouvrir les yeux aveugles, les oreilles sourdes et les cœurs voilés à la vérité ».
Ensuite, je rencontrai Kaab, l’érudit et l’interrogeai sur ce même sujet. Il fit me part du même récit, le seul point de divergence étant au niveau du choix des mots.[1]
Le professeur Abdul Ahad Dawud[2] dit : « …Cependant, dans ma discussion, j’ai essayé de me baser sur certaines parties de la Bible qui acceptent rarement un débat linguistique. Je n’irai pas jusqu'au latin, ni au grec, ni à l’araméen, parce que cela n’aura pas d’importance. […].
Le livre du Deutéronome (18 :18) nous rapporte ce qui suit : « C’est un Prophète comme toi que je leur susciterai du milieu de leurs frères ; Je mettrai mes paroles dans sa bouche »
Si ces mots ne s’appliquent pas à Muhammad, c’est qu’ils restent non matérialisés jusqu’ici. En effet, le Messie lui-même n’a jamais prétendu que c’est à lui qu’allusion est faite ici. Même ses apôtres étaient du même avis. Ils attendaient le retour du Messie pour voir la prophétie s'accomplir. Or, jusqu'à présent, il est évident et irréfutable « que l’avènement du Messie » n'a jamais été la matérialisation de ces propos : « C’est un Prophète comme toi que je leur susciterai ». Même son retour ne saurait vérifier le sens de ces mots. Le Messie, comme le croit l’église, apparaîtra bientôt en tant que juge et non comme celui qui apporte une nouvelle législation. Or, le messager promis est porteur de "la législation ardente" dans sa main droite.
L’autre prophétie attribuée à Moïse et qui parle de « la lumière resplendissante d’Allah venant de Parân », aide beaucoup à confirmer la personnalité du Prophète promis : il s’agit du désert de la Mecque. Le livre du Deutéronome 33: 2 révèle que : « Le Seigneur est venu du Sinaï, pour eux il s’est levé à l’horizon du côté de Séïr, il a resplendi depuis le mont de Parân ; il est arrivé à Mériba de Qadesh ; de son midi vers les Pentes pour eux ». Ces mots établissent un parallèle entre la lumière du Seigneur et la lumière du soleil. Il vient du Sinaï et pour eux, il s’est levé à l’horizon du côté de Séïr. Cependant il a resplendi avec la gloire depuis le mont Parân, étant donné qu’il a fallu qu’apparaissent avec lui dix milles saints et qu’Il porte dans sa main droite une législation pour eux. Aucun israélien y compris le Messie n’a eu un quelconque rapport avec Parân.
En effet, Hajar et son fils Ismail se sont promenés dans les labyrinthes du « puits d’Al Sab’ ». Ce sont eux qui ont, par la suite, habité le désert de Parân[3].
Ismail épousa une Egyptienne. De son premier fils, Qédar (Adnan) sont issus les petits-fils arabes qui ont habité depuis cette période le désert de Parân et l’ont adopté comme patrie. Si Muhammad, comme tout le monde le sait, est issu de la lignée d’Ismail à travers son fils Qédar (Adnan) ; si un Prophète est apparu dans le désert de Parân ; si ce dernier est ensuite entré à la Mecque avec dix milles saints (croyants) en plus de la législation ardente pour son peuple, ne serait-ce pas là l’accomplissement textuel de la prophétie précédemment évoquée ?
Il convient, par ailleurs, de prêter une attention particulière à cette prophétie d’Habaquq : « Chantez pour le Seigneur un chant nouveau. Chantez sa louange depuis le mont Parân… » Le mot louange ici est d’autant plus important que, littéralement, le nom Muhammad veut dire "celui qui est loué". En outre, les Arabes, qui sont les habitants du désert de Parân avaient eu cette promesse : « Qu’élèvent la voix le désert et ses villes, les villages où habite Qédar ; que les habitants du roc poussent des acclamations, du sommet des montagnes qu’ils lancent des vivats ; qu’on rende gloire au Seigneur ; qu’on publie dans les îles Sa louange ! Le Seigneur, tel un héros, va sortir, tel un homme de guerre, il réveille sa jalousie, il pousse un cri d’alarme, un grondement et contre ses ennemis se comporte en héros »[4].
Il convient également de souligner deux autres prophéties autour de ce sujet. En effet, allusion est faite au nom de Qédar (Adnan) dans Esaïe 60 : « Mets-toi debout et deviens lumière, car elle arrive, ta lumière : la gloire du Seigneur sur toi s’est levée… Un afflux de chameaux te couvrira, de tout jeunes chameaux de Madiân et d’Eifa ; tous les gens de Saba viendront… Tout le petit bétail de Qédar sera rassemblé pour toi, les béliers de Nebayoth seront pour tes offices ; ils monteront sur mon autel, ils y seront en faveur ; oui, je rendrai splendide la Maison de ma splendeur… »[5]
De même, il y a une autre prophétie dans Esaïe 21 : 13-17 : « Proclamation sur l’Arabie. Vous allez passer la nuit dans la forêt en Arabie, caravanes de Dedân. Allez à la rencontre de l’assoiffé, apportez de l’eau, habitants du pays de Téma ; allez au-devant du fugitif avec son pain, car ils s’enfuient devant les épées, devant l’épée déchaînée, devant l’arc tendu, sous le poids du combat. Ainsi m’a parlé le Seigneur : Encore un an –année de mercenaire- et toute la gloire de Qédar sera anéantie, et il en restera bien peu parmi les arcs des guerriers de Qédar ».
On peut aisément établir un rapport entre ces prophéties de Esaïe et celle du Deutéronome qui parle de "la venue de la lumière de Dieu de Parân".
Si Ismail a habité le désert de Parân où est né son fils Qédar (Adnan) qui est lui même l’ancêtre des arabes ; s’il a été écrit que la révélation d’Allah viendra parmi les enfants de Qédar (Adnan) ; s’il incombe aux ouailles de Qédar de manifester leur acceptation du sacrifice saint pour glorifier « ma grandeur », étant donné que les ténèbres couvraient la terre pendant de nombreux siècles ; s’il incombait à cette partie de la terre d’accueillir la lumière de la part du Seigneur ; si toute cette gloire de Qédar devait connaître un échec ; si un bon nombre d’archers, les héros parmi les fils de Qédar, allaient diminuer au cours d’une seule année, certains ayant pris fuite devant l’épée déchaînée, devant l’arc tendu, ces propos viseraient-ils quelqu'un d’autre de Parân si ce n’est Muhammad r ?[6]
Muhammad r est, en effet, de la lignée d’Ismail, à travers son fils, Qédar (Adnan) qui s’était établi dans le désert de Parân. Muhammad r est le seul Prophète par la voie de qui les arabes ont reçu la révélation divine lorsque les ténèbres recouvraient la terre. A travers lui la lumière divine a rayonné sur Parân. Or, la Mecque est la seule ville dans laquelle on glorifie le Seigneur dans une maison qui a un statut particulier. De même, les ouailles de Qédar viennent recevoir la révélation sur l’autel (de la maison d’Allah).
En outre, persécuté par son peuple, Muhammad r fut contraint d’émigrer (de la Mecque). Il était saisi par la soif pendant qu’il fuyait les épées déchaînées et les arcs tendus. Une seule année après sa fuite, les descendants de Qédar le rencontrèrent à Badr, l’endroit où la première bataille entre les gens de la Mecque et le Prophète r.eut lieu. Plus tard, les descendants de Qédar (les archers) furent mis en déroute, puis toute sa gloire s’éclipsa. Si le saint Prophète n’est pas accepté comme celui en qui se sont réalisées toutes ces prophéties, cela veut dire que ces prophéties ne s’accompliront jamais. De même, la Maison du Seigneur à laquelle il est fait allusion dans le chapitre 60, verset 7 renvoie à la Maison sacrée d’Allah de la Mecque et non l’église du Messie comme le prétendaient les exégètes chrétiens. Tel qu’il est mentionné dans le chapitre 7, les ouailles de Qédar n’avaient jamais rejoint l’église du Messie. En réalité, les habitants des villages qui dépendaient de Qédar furent les seules personnes dans ce monde qui, jusque-là, n’avaient été aucunement influencées par les enseignements de l’église du Messie.
De même, l’évocation de dix milles saints telle que mentionnée dans le livre du Deutéronome est très significative (chapitre trente trois) : « Dieu, sa lumière a resplendi depuis le mont de Parân et sont venus avec la lumière dix milles saints ». En lisant toute l’histoire en rapport avec Parân, nous ne rencontrerons aucun autre événement en dehors de celui-ci : lorsque le Prophète r fit la conquête de la Mecque, il y entra à la tête de dix milles croyants parmi ses adeptes de Médine. Il rentra à (la Maison d’Allah) avec dans sa main droite la législation islamique qui a transformé toutes les autres législations en cendre.
Et « le Paraclet », c'est-à-dire « l’Esprit de vérité » dont le Messie fit la bonne annonce n’était personne d’autre que Muhammad lui-même. Rien ne nous permet de croire qu’il s’agit du Saint esprit comme le prétendent les théories théologiques car le Messie dit : « C’est votre avantage que je m’en aille. En effet, si je ne pars pas, le Paraclet ne viendra pas à vous : si, au contraire, je pars, je vous l’enverrai ». Ces mots signifient clairement que le Paraclet devait obligatoirement venir après le Messie et qu’il n’était pas avec lui lorsqu’il a tenu ces propos. Or, pouvons-nous admettre que le Messie n’était pas porteur du Saint Esprit si la venue du Saint Esprit est conditionnée par le départ du Messie ? En plus, la manière dont le Messie l’a décrit fait de lui une personne et non un esprit : « Car il ne parlera pas de son propre chef, mais il dira ce qu’il entendra ».[7] Devons-nous supposer que Dieu et le Saint Esprit étaient « des entités distinctes » et que le Saint Esprit parle de son propre chef et de ce qu’il entend de Dieu ?
Ces mots (Esprit de Vérité) du Messie concordent franchement avec une partie du Livre d’Allah I. Le Qur'an parle de Muhammad r en ces termes : ( Il est plutôt venu avec la vérité et il a confirmé les messagers (précédents) )[8]
Atâ ibn Yassar t rapporte : « J’ai rencontré Abdullah ibn Amr ibn Al Ace t et je lui ai demandé : – peux-tu m'informez au sujet de la description du Messager d’Allah r dans la Torah ? Il répondit : – Naturellement ! Par Allah, il est décrit dans la Torah avec certains de ses attributs mentionnés dans le Qur'an : “Ô Prophète ! Nous t’avons envoyé [pour être] témoin, annonciateur, avertisseur et un refuge pour les illettrés. Tu es Mon esclave et Mon Messager ; Je t’ai nommé ‘celui qui place sa confiance en Allah’. Tu n’es pas un homme rude, ni un criard, encore moins mal intentionné. Tu ne rends pas le mal par le mal, mais tu pardonnes. Je ne te rappellerai pas à moi avant d’avoir redressé par toi la religion distorse au point qu’ils attestent qu'il n’y a point de divinité digne d’adoration en dehors d’Allah. Je me servirai de toi pour ouvrir les yeux aveugles, les oreilles sourdes et les cœurs voilés à la vérité ».
Ensuite, je rencontrai Kaab, l’érudit et l’interrogeai sur ce même sujet. Il fit me part du même récit, le seul point de divergence étant au niveau du choix des mots.[1]
Le professeur Abdul Ahad Dawud[2] dit : « …Cependant, dans ma discussion, j’ai essayé de me baser sur certaines parties de la Bible qui acceptent rarement un débat linguistique. Je n’irai pas jusqu'au latin, ni au grec, ni à l’araméen, parce que cela n’aura pas d’importance. […].
Le livre du Deutéronome (18 :18) nous rapporte ce qui suit : « C’est un Prophète comme toi que je leur susciterai du milieu de leurs frères ; Je mettrai mes paroles dans sa bouche »
Si ces mots ne s’appliquent pas à Muhammad, c’est qu’ils restent non matérialisés jusqu’ici. En effet, le Messie lui-même n’a jamais prétendu que c’est à lui qu’allusion est faite ici. Même ses apôtres étaient du même avis. Ils attendaient le retour du Messie pour voir la prophétie s'accomplir. Or, jusqu'à présent, il est évident et irréfutable « que l’avènement du Messie » n'a jamais été la matérialisation de ces propos : « C’est un Prophète comme toi que je leur susciterai ». Même son retour ne saurait vérifier le sens de ces mots. Le Messie, comme le croit l’église, apparaîtra bientôt en tant que juge et non comme celui qui apporte une nouvelle législation. Or, le messager promis est porteur de "la législation ardente" dans sa main droite.
L’autre prophétie attribuée à Moïse et qui parle de « la lumière resplendissante d’Allah venant de Parân », aide beaucoup à confirmer la personnalité du Prophète promis : il s’agit du désert de la Mecque. Le livre du Deutéronome 33: 2 révèle que : « Le Seigneur est venu du Sinaï, pour eux il s’est levé à l’horizon du côté de Séïr, il a resplendi depuis le mont de Parân ; il est arrivé à Mériba de Qadesh ; de son midi vers les Pentes pour eux ». Ces mots établissent un parallèle entre la lumière du Seigneur et la lumière du soleil. Il vient du Sinaï et pour eux, il s’est levé à l’horizon du côté de Séïr. Cependant il a resplendi avec la gloire depuis le mont Parân, étant donné qu’il a fallu qu’apparaissent avec lui dix milles saints et qu’Il porte dans sa main droite une législation pour eux. Aucun israélien y compris le Messie n’a eu un quelconque rapport avec Parân.
En effet, Hajar et son fils Ismail se sont promenés dans les labyrinthes du « puits d’Al Sab’ ». Ce sont eux qui ont, par la suite, habité le désert de Parân[3].
Ismail épousa une Egyptienne. De son premier fils, Qédar (Adnan) sont issus les petits-fils arabes qui ont habité depuis cette période le désert de Parân et l’ont adopté comme patrie. Si Muhammad, comme tout le monde le sait, est issu de la lignée d’Ismail à travers son fils Qédar (Adnan) ; si un Prophète est apparu dans le désert de Parân ; si ce dernier est ensuite entré à la Mecque avec dix milles saints (croyants) en plus de la législation ardente pour son peuple, ne serait-ce pas là l’accomplissement textuel de la prophétie précédemment évoquée ?
Il convient, par ailleurs, de prêter une attention particulière à cette prophétie d’Habaquq : « Chantez pour le Seigneur un chant nouveau. Chantez sa louange depuis le mont Parân… » Le mot louange ici est d’autant plus important que, littéralement, le nom Muhammad veut dire "celui qui est loué". En outre, les Arabes, qui sont les habitants du désert de Parân avaient eu cette promesse : « Qu’élèvent la voix le désert et ses villes, les villages où habite Qédar ; que les habitants du roc poussent des acclamations, du sommet des montagnes qu’ils lancent des vivats ; qu’on rende gloire au Seigneur ; qu’on publie dans les îles Sa louange ! Le Seigneur, tel un héros, va sortir, tel un homme de guerre, il réveille sa jalousie, il pousse un cri d’alarme, un grondement et contre ses ennemis se comporte en héros »[4].
Il convient également de souligner deux autres prophéties autour de ce sujet. En effet, allusion est faite au nom de Qédar (Adnan) dans Esaïe 60 : « Mets-toi debout et deviens lumière, car elle arrive, ta lumière : la gloire du Seigneur sur toi s’est levée… Un afflux de chameaux te couvrira, de tout jeunes chameaux de Madiân et d’Eifa ; tous les gens de Saba viendront… Tout le petit bétail de Qédar sera rassemblé pour toi, les béliers de Nebayoth seront pour tes offices ; ils monteront sur mon autel, ils y seront en faveur ; oui, je rendrai splendide la Maison de ma splendeur… »[5]
De même, il y a une autre prophétie dans Esaïe 21 : 13-17 : « Proclamation sur l’Arabie. Vous allez passer la nuit dans la forêt en Arabie, caravanes de Dedân. Allez à la rencontre de l’assoiffé, apportez de l’eau, habitants du pays de Téma ; allez au-devant du fugitif avec son pain, car ils s’enfuient devant les épées, devant l’épée déchaînée, devant l’arc tendu, sous le poids du combat. Ainsi m’a parlé le Seigneur : Encore un an –année de mercenaire- et toute la gloire de Qédar sera anéantie, et il en restera bien peu parmi les arcs des guerriers de Qédar ».
On peut aisément établir un rapport entre ces prophéties de Esaïe et celle du Deutéronome qui parle de "la venue de la lumière de Dieu de Parân".
Si Ismail a habité le désert de Parân où est né son fils Qédar (Adnan) qui est lui même l’ancêtre des arabes ; s’il a été écrit que la révélation d’Allah viendra parmi les enfants de Qédar (Adnan) ; s’il incombe aux ouailles de Qédar de manifester leur acceptation du sacrifice saint pour glorifier « ma grandeur », étant donné que les ténèbres couvraient la terre pendant de nombreux siècles ; s’il incombait à cette partie de la terre d’accueillir la lumière de la part du Seigneur ; si toute cette gloire de Qédar devait connaître un échec ; si un bon nombre d’archers, les héros parmi les fils de Qédar, allaient diminuer au cours d’une seule année, certains ayant pris fuite devant l’épée déchaînée, devant l’arc tendu, ces propos viseraient-ils quelqu'un d’autre de Parân si ce n’est Muhammad r ?[6]
Muhammad r est, en effet, de la lignée d’Ismail, à travers son fils, Qédar (Adnan) qui s’était établi dans le désert de Parân. Muhammad r est le seul Prophète par la voie de qui les arabes ont reçu la révélation divine lorsque les ténèbres recouvraient la terre. A travers lui la lumière divine a rayonné sur Parân. Or, la Mecque est la seule ville dans laquelle on glorifie le Seigneur dans une maison qui a un statut particulier. De même, les ouailles de Qédar viennent recevoir la révélation sur l’autel (de la maison d’Allah).
En outre, persécuté par son peuple, Muhammad r fut contraint d’émigrer (de la Mecque). Il était saisi par la soif pendant qu’il fuyait les épées déchaînées et les arcs tendus. Une seule année après sa fuite, les descendants de Qédar le rencontrèrent à Badr, l’endroit où la première bataille entre les gens de la Mecque et le Prophète r.eut lieu. Plus tard, les descendants de Qédar (les archers) furent mis en déroute, puis toute sa gloire s’éclipsa. Si le saint Prophète n’est pas accepté comme celui en qui se sont réalisées toutes ces prophéties, cela veut dire que ces prophéties ne s’accompliront jamais. De même, la Maison du Seigneur à laquelle il est fait allusion dans le chapitre 60, verset 7 renvoie à la Maison sacrée d’Allah de la Mecque et non l’église du Messie comme le prétendaient les exégètes chrétiens. Tel qu’il est mentionné dans le chapitre 7, les ouailles de Qédar n’avaient jamais rejoint l’église du Messie. En réalité, les habitants des villages qui dépendaient de Qédar furent les seules personnes dans ce monde qui, jusque-là, n’avaient été aucunement influencées par les enseignements de l’église du Messie.
De même, l’évocation de dix milles saints telle que mentionnée dans le livre du Deutéronome est très significative (chapitre trente trois) : « Dieu, sa lumière a resplendi depuis le mont de Parân et sont venus avec la lumière dix milles saints ». En lisant toute l’histoire en rapport avec Parân, nous ne rencontrerons aucun autre événement en dehors de celui-ci : lorsque le Prophète r fit la conquête de la Mecque, il y entra à la tête de dix milles croyants parmi ses adeptes de Médine. Il rentra à (la Maison d’Allah) avec dans sa main droite la législation islamique qui a transformé toutes les autres législations en cendre.
Et « le Paraclet », c'est-à-dire « l’Esprit de vérité » dont le Messie fit la bonne annonce n’était personne d’autre que Muhammad lui-même. Rien ne nous permet de croire qu’il s’agit du Saint esprit comme le prétendent les théories théologiques car le Messie dit : « C’est votre avantage que je m’en aille. En effet, si je ne pars pas, le Paraclet ne viendra pas à vous : si, au contraire, je pars, je vous l’enverrai ». Ces mots signifient clairement que le Paraclet devait obligatoirement venir après le Messie et qu’il n’était pas avec lui lorsqu’il a tenu ces propos. Or, pouvons-nous admettre que le Messie n’était pas porteur du Saint Esprit si la venue du Saint Esprit est conditionnée par le départ du Messie ? En plus, la manière dont le Messie l’a décrit fait de lui une personne et non un esprit : « Car il ne parlera pas de son propre chef, mais il dira ce qu’il entendra ».[7] Devons-nous supposer que Dieu et le Saint Esprit étaient « des entités distinctes » et que le Saint Esprit parle de son propre chef et de ce qu’il entend de Dieu ?
Ces mots (Esprit de Vérité) du Messie concordent franchement avec une partie du Livre d’Allah I. Le Qur'an parle de Muhammad r en ces termes : ( Il est plutôt venu avec la vérité et il a confirmé les messagers (précédents) )[8]
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[1] Al Baïhaqi, 13079
[2] Cité d’après le livre Muhammad dans la bible du professeur Abdul Ahad Dawud, traduit par Fahmy.
[3] Genèse chapitre 21, verset 21
[4] Esaïe 42 :11-13
[5] Esaïe 60 : 1-7
[6] Habaquq 3 :3
[7]Jean 16 : 13
[8] As-Safat, 37
[1] Al Baïhaqi, 13079
[2] Cité d’après le livre Muhammad dans la bible du professeur Abdul Ahad Dawud, traduit par Fahmy.
[3] Genèse chapitre 21, verset 21
[4] Esaïe 42 :11-13
[5] Esaïe 60 : 1-7
[6] Habaquq 3 :3
[7]Jean 16 : 13
[8] As-Safat, 37
Le Nouveau Testament
Il existe de nombreux passages du nouveau Testament faisant clairement référence à l’avènement de Muhammad r à travers la description de la nature de ses actions et de sa mission.
*Jean Baptiste : Les juifs envoyèrent les sacrificateurs et les lévites lui demander qui il était. « Il déclara, et ne le nia point, il déclara qu'il n'était pas le Christ. Et ils lui demandèrent : Quoi donc ? Es-tu Elie ? Et il dit : Je ne le suis point. Es-tu le prophète ? Et il répondit : Non. […] Ils lui firent encore cette question : Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es pas le Christ, ni Elie, ni le prophète ? »[1]
Ainsi, ce n’est pas Jésus, mais Muhammad qui est ce Prophète, étant donné que Jean Baptiste continua à prêcher, à baptiser et à prédire l’avènement du Prophète du vivant même de Jésus.
*Jésus u : Le Prophète Jésus a annoncé la venue d’un autre Prophète dont le nom sera "paraklêtos", "Paraclet" ou "Paracalon" qui (i.e., dont les préceptes) vivra éternellement. Il dit en effet : « Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous »[2]
Le mot paraklêtos veut dire l’illustre, le renommé, le digne de louange et c’est exactement ce à quoi renvoie le nom Ahmad. Le Qur'an confirme que le Prophète Jésus avait effectivement annoncé l’avènement après lui d’un Prophète au nom d’Ahmad. A ce sujet, Allah I dit : ( Et quand Jésus, fils de Marie dit : "Ô enfant d’Israël, je suis vraiment le messager d’Allah [envoyé] à vous, confirmateur de ce qui dans la Thora, est antérieur à moi, et annonciateur d’un messager à venir après moi, dont le nom sera "Ahmad". Puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent : "C’est là une magie manifeste" )[3].
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[1] Jean I,:20-25
[2] Jean 14:16
[3] As-Saff, 6
Il existe de nombreux passages du nouveau Testament faisant clairement référence à l’avènement de Muhammad r à travers la description de la nature de ses actions et de sa mission.
*Jean Baptiste : Les juifs envoyèrent les sacrificateurs et les lévites lui demander qui il était. « Il déclara, et ne le nia point, il déclara qu'il n'était pas le Christ. Et ils lui demandèrent : Quoi donc ? Es-tu Elie ? Et il dit : Je ne le suis point. Es-tu le prophète ? Et il répondit : Non. […] Ils lui firent encore cette question : Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es pas le Christ, ni Elie, ni le prophète ? »[1]
Ainsi, ce n’est pas Jésus, mais Muhammad qui est ce Prophète, étant donné que Jean Baptiste continua à prêcher, à baptiser et à prédire l’avènement du Prophète du vivant même de Jésus.
*Jésus u : Le Prophète Jésus a annoncé la venue d’un autre Prophète dont le nom sera "paraklêtos", "Paraclet" ou "Paracalon" qui (i.e., dont les préceptes) vivra éternellement. Il dit en effet : « Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous »[2]
Le mot paraklêtos veut dire l’illustre, le renommé, le digne de louange et c’est exactement ce à quoi renvoie le nom Ahmad. Le Qur'an confirme que le Prophète Jésus avait effectivement annoncé l’avènement après lui d’un Prophète au nom d’Ahmad. A ce sujet, Allah I dit : ( Et quand Jésus, fils de Marie dit : "Ô enfant d’Israël, je suis vraiment le messager d’Allah [envoyé] à vous, confirmateur de ce qui dans la Thora, est antérieur à moi, et annonciateur d’un messager à venir après moi, dont le nom sera "Ahmad". Puis quand celui-ci vint à eux avec des preuves évidentes, ils dirent : "C’est là une magie manifeste" )[3].
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[1] Jean I,:20-25
[2] Jean 14:16
[3] As-Saff, 6
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